Résumé
Ce travail propose une classification des types de victimaires ou de ceux qui perpètrent et l’importance de travailler avec leurs histoires de vie pour la recherche sociale. À travers une révision bibliographique on propose une classification de
quatre types généraux de ceux qui perpètrent : ceux de la contre-insurrection et la répression (qui est centré sur les personnages clés des dictatures en Amérique Latine) ; les victimaires en dehors du pouvoir politique (couramment liés avec les classes populaires) ; ceux de « col blanc » (illicites perpétrés par des individus ou des entités privilégiées quant au pouvoir politique et économique) et les victimaires structuraux (qui reproduisent des conduites comme le machisme, le racisme et/ou la xénophobie). En plus, on construit un paragraphe sur les questions ethniques et méthodologiques en travaillant avec des histoires de vie de ceux qui ont violenté des droits et des garanties pour éviter de tomber dans des
apologies du délit.
Mots clés : Histoires de vie, Mémoire, Victimaires, Ceux qui perpètrent, Délit